IMAGES ET DROITS D'AUTEURS

Pris la main dans l'sac !

Je l’ai vécu, vous l’avez vécu, nous l’avons tous vécu : Une production importante à présenter, tout est parfait mais il manque une pierre à l’édifice. L’illustration parfaite pour vos propos. Vous cherchez partout jusqu'à la trouver. Enfin !

Seul problème : il s’agit d’une illustration appartenant à quelqu’un d’autre ! Vous pourriez penser que ce n’est qu’un détail et qu’il est peu probable que le propriétaire s’en aperçoive parce que, après tout, c’est grand internet !

Et bien sachez que généralement, l’auteur de l’illustration ou de l’image volée s’aperçoit de la supercherie et alors, les conséquences sont piquantes. Préparez-vous, nous allons vous révéler ce que peut coûter le vol ou l’utilisation sans autorisation d’une image.

D’après le Code de la Propriété Intellectuelle, l’article L335-2 prévoit une amende de 300 000€ et d’une peine de 3 ans d’emprisonnement. Ça calme, n’est-ce pas ? Mais rassurez-vous, beaucoup de solutions existent afin d’échapper à ce destin funeste.

1. Commençons par la solution la plus simple et la plus rapide. Vous pouvez vous rendre sur une banque d’images en ligne, qui vous proposera une multitude de visuels libres de droit, vous aurez de quoi vous faire plaisir !

2. Vous êtes ou disposez des compétences d’une personne créative dans votre équipe ? Munissez-vous d’un appareil photo et/ou créez l’illustration qui collera parfaitement à vos travaux !

3. Enfin, pour la dernière solution, il faut s’armer de patience et d’un réel esprit d’analyse et remonter aux sources de l’image trouvée en ligne afin de remonter jusqu’à son auteur pour ensuite lui demander directement son autorisation pour la rediffusion de ladite image.

Vous voyez ? À chaque problème, ses solutions. Alors la prochaine fois, ne prenez pas de risques inutiles, il est si simple d’adopter les bons réflexes !

Notre article pourrait se terminer ici, mais évidemment, vous pouvez aussi faire appel à votre agence de communication préférée à Dijon, L’Agence MOUTARDE !

Merci à Clémence B pour la rédaction de cet article